Mise à jour du 10/10/01
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Présentation du projet
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Vue d'ensemble 3 D de l'horloge
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Implantation des composants. (schéma côté cuivre et côté composant)
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Nomenclature.
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Typon  du circuit imprimé, prêt à tirer.
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Implantation pas à pas en 3D (1ère page)
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Implantation pas à pas en 3D (2ème page)
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Vue d'ensemble 3D  de l'électronique
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Dessin de définition du support
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Pliage du support pas à pas en 3D
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Indications de montage

 
 
 
 
Présentation                         
                L'idée de départ pour cette horloge musicale est relativement simple : réaliser une horloge qui sonnerait toutes les heures comme les "coucous" de nos grand-mères. Pour cela il y avait plusieurs contraintes évidentes :
1) cette horloge doit pouvoir sonner à chaque heure,
2) elle ne doit pas sonner la nuit,
3) elle doit pouvoir fonctionner longtemps sans que l'on ait à s'en occuper.
     Je suis donc parti d'un projet existant qui consistait en une horloge qui sonnait à chaque heure mais dont le système musical fonctionnait sur pile, ce qui nécessitait un circuit de détection d'obscurité fonctionnant 24h/24h pour stopper la musique la nuit.
     Ma première remarque concernait le système de détection d'obscurité qui semblait bien compliquer ce projet, tout du moins au niveau de la compréhension par les élèves. Comme j'avais déjà réalisé une grenouille-testeur d'humidité pour plantes qui résolvait le problème de la nuit et de la source d'énergie inépuisable, j'ai réutilisé le circuit ainsi que le photogénérateur qui lui fournissait l'énergie (eh oui, la nuit pas de soleil donc pas d'énergie et donc l'horloge reste muette!).
     Ma deuxième remarque était alors par rapport au grésillements qui résultait du manque d'énergie en raison d'un faible éclairage dû à un temps gris ou à une habitation sombre. J'ai résolu le problème lorsque j'ai réfléchi que l'horloge attendait obligatoirement 1 heure entre deux sonneries (oui je sais, je n'ai pas inventé la poudre en pensant à cela mais bon...) et donc il était possible de charger un accumulateur pendant 1 heure entre chaque sonnerie. C'est donc ce que j'ai fait, sauf que je me suis contenté d'un bon vieux condensateur chimique à la place d'un véritable accumulateur.
     Résultat : le système fonctionne tout seul, sans apport d'énergie par pile (sauf pour le mécanisme d'horloge), il s'arrête la nuit dès que l'éclairage de la pièce où il se trouve est quasi nul et, de plus, le circuit est on ne peut plus simple et facilement compréhensible (y compris fonctionnellement) par les élèves.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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